Cet amendement, qui avait déjà été déposé il y a quelques années, vise à organiser le ruissellement des métropoles vers ce que l’on pourrait appeler leur « arrière-pays », en mettant en place le « 1 % métropole ».
Vous le savez, mes chers collègues, les métropoles concentrent la richesse intellectuelle et financière ainsi que les investissements. Il est donc parfois nécessaire d’organiser la solidarité, qui n’est pas si naturelle que cela et que l’on renvoie souvent à des contrats de réciprocité. Certaines collectivités – des grandes villes françaises – ont commencé à accomplir ce travail, mais celui-ci n’est pas encore inscrit dans la réalité.
L’Association des petites villes de France (APVF) a donc proposé, à plusieurs reprises, de créer l’occasion d’organiser la solidarité des métropoles vers leur arrière-pays.