Mais enfin, il faut regarder la réalité !
Les territoires périurbains et ruraux sont, parfois, sociologiquement en souffrance. La gentrification se fait aujourd’hui, essentiellement, dans les centres-villes des métropoles, bien plus que dans la ruralité proche de ces villes, et il existe de ce fait des risques de rupture.
Je maintiens donc cet amendement.
Par ailleurs, madame la ministre, ce sujet mérite également que l’on organise un groupe de travail sous votre égide !