Je ne voudrais pas rallonger excessivement les débats, mais des éléments très précis ont été avancés.
Mes chers collègues, même si nous sommes désolés de monopoliser les discussions avec ce débat sur les communes d’Île-de-France, j’aimerais que vous gardiez en tête que le fonds dont nous parlons représente en tout 350 millions d’euros, et que la Ville de Paris y contribue à hauteur de 183 millions. Je ne voudrais pas que vous pensiez que la situation est terrible à cause de Paris, car le fait que seuls des sénateurs des Hauts-de-Seine se soient exprimés a un effet de loupe sur la situation de ce département.
Le mécanisme est extraordinairement complexe. D’ailleurs, après vous avoir entendue, chère Christine Lavarde, je pense que vous nous avez perdus à la huitième phrase… Nous devons y travailler de manière très sérieuse, mais on ne peut pas, me semble-t-il, remettre à plat l’ensemble du dispositif du Fsrif et les modalités de répartition entre les communes de cette manière.