Madame la ministre, je veux insister sur le fait que, en réalité, la DETR est un peu le dernier espace de liberté sur nos territoires, le dernier espace où l’intelligence et la créativité des élus, dans le cadre d’un dialogue avec la préfecture, peuvent cerner des sujets d’intérêt particulier sur les territoires, comme l’a notamment expliqué le rapporteur pour avis, Loïc Hervé.
Aujourd’hui, alors que nous sommes complètement phagocytés dans des appels à projets, des guichets, etc., la DETR est l’ultime endroit à offrir un dialogue local et une souplesse, l’ultime endroit où l’accompagnement de l’État s’adapte, pour une fois, à la réalité des territoires.
Par conséquent, permettez que nous conservions cette soupape !