Le constat est partagé sur toutes les travées : la situation des AESH n’est pas tolérable.
Comment accepter que cette profession, féminine à 90 %, vive largement en dessous du seuil de pauvreté ? Comment accepter que la rémunération moyenne s’établisse à 850 euros net ? Comment accepter qu’une telle fonction, pourtant vitale au sein de l’école dite inclusive, soit rémunérée de manière aussi indigne ?
Nous vous proposons d’augmenter de 10 % l’enveloppe budgétaire consacrée à la rémunération des AESH. Cela ne doit être qu’un premier pas. L’objectif est simple : aucune AESH en dessous du SMIC !