Je souhaite, mes chers collègues, attirer votre attention sur la situation particulière des AESH exerçant dans l’enseignement agricole et maritime.
Au nombre de sept cents environ, ils sont confrontés à des conditions d’emploi encore plus difficiles – quotité de travail comprise entre 10 % et 20 %, non-accès aux dispositifs de formation –, si bien qu’ils se qualifient eux-mêmes de « sous-AESH ».
Par équité à l’égard de l’ensemble des AESH, cet amendement tend à revaloriser les échelons de plus de 15 points minimum sur l’indice brut, afin que cette hausse soit répercutée. Le coût estimé de cette revalorisation est de 32 737, 70 euros.