Monsieur le président, pour ne pas mettre notre rapporteur spécial dans l’embarras, je vais retirer ces amendements, mais ils touchent au fond du sujet.
Le problème est majeur : la dégradation de la transmission des savoirs fondamentaux s’accélère. Nos classements deviennent humiliants. Notre situation est extrêmement inquiétante. En matière de mobilité sociale, nous sommes des cancres : seule la Hongrie fait pire que nous !
Il est donc nécessaire de réagir. Une politique de moyens supplémentaires et de rustines en lieu et place d’une réorganisation profonde du système ne fonctionne pas.
Nous y reviendrons, monsieur le ministre ! Je pense que nous ne sortirons pas de cette situation, extrêmement dramatique pour le pays, sans de véritables réformes de fond. Les deux propositions que je vous ai faites en étaient.