Je commencerai volontiers par là où vous avez terminé, monsieur le rapporteur général.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que vos interventions ainsi que celles de M. Arthuis ont fait progresser le débat : nous discutons de ce sujet depuis un long moment, et les choses se décantent un peu.
Je tiens à vous le dire d'emblée afin qu'il n'y ait pas d'ambiguïté entre nous - à supposer d'ailleurs qu'il y en ait -, je ne suis pas opposé, loin s'en faut, à ce que la discussion sur la TVA sociale se poursuive, même si nos points de vue divergent. Je l'ai annoncé dès les premières minutes de cette discussion budgétaire, et je n'ai pas changé d'avis. Comme vous pouvez le constater, je ne fais preuve d'aucune réticence, je n'ai que des arguments de fond à vous opposer.