Cet amendement de repli par rapport à l’amendement n° II-1024 rectifié que je viens de présenter vise à augmenter de 120 millions d’euros les crédits prévus pour le chèque énergie, sans changer les critères d’éligibilité.
Il s’agit de permettre aux ménages de faire face à l’augmentation prévue de 15 % des tarifs réglementés de vente (TRV) et à leurs éventuelles dépenses liées aux modes de chauffage autres que l’électrique, comme le chauffage au bois, par exemple, qui est fréquent, peut-être même trop fréquent, en milieu rural.