Cet amendement est dans la droite ligne de celui qui vient d’être présenté.
Des aides avaient été apportées dans le cadre du projet de loi de finances rectificative, mais elles ne seront pas suffisantes face à l’envolée du prix des granulés de bois, qui était au mois d’octobre dernier de l’ordre de 660 euros. Ce matériau est très utilisé dans mon département, lequel est couvert de forêts sur 45 % de son territoire.
Notre demande est toutefois plus modeste que celle de nos collègues, puisque nous proposons une inscription de 400 millions d’euros, afin d’alléger la facture des ménages qui se chauffent avec un poêle ou une chaudière à granulés.