Je considère que les exigences que l’on a à l’égard de Météo-France ont évolué. Alors que l’on a exagérément réduit le nombre d’emplois à un certain moment, on ne peut pas se satisfaire aujourd’hui d’une légère augmentation.
Compte tenu des enjeux, je pense qu’il faut accroître les moyens de Météo-France d’une manière plus significative.
Je maintiens donc mon amendement.