Cet amendement tend à augmenter de 1 million d’euros les crédits en faveur des alliances françaises.
Or, pour le moment, les crédits de 2022, d’un montant égal à ceux qui sont prévus pour 2023, sont loin d’avoir été consommés entièrement : au 1er décembre 2022, sur les 4, 5 millions d’euros engagés, seuls 3, 9 millions d’euros avaient été consommés.
Il ne nous semble donc pas nécessaire d’augmenter de 1 million d’euros les crédits des alliances françaises ; il faudrait déjà consommer l’ensemble des crédits budgétés.