Le sujet soulevé par les auteurs de ces amendements représente une préoccupation majeure.
Néanmoins, nous nous interrogeons sur les marges de manœuvre concrètes dont disposent aujourd’hui les postes consulaires pour financer de telles opérations. Les membres de la commission des finances ne sont pas omniscients. Sur cette question, nous sollicitons l’avis du Gouvernement.