La principale dette, c’est la dette climatique, dont les pays développés sont responsables pour une large part !
Avec 200 millions d’euros, il est effectivement possible de conduire des actions fantastiques dans les pays en voie de développement afin d’éviter qu’ils passent par la case des énergies fossiles. Nous pourrions les aider à entrer dans une vraie économie décarbonée. Ce n’est surtout pas cette mission qu’il faut raboter de 200 millions. C’est même mesquin et complètement déplacé, voire anachronique, à l’heure où nous avons un engagement planétaire à tenir. Les pays en voie de développement ont besoin de cet argent.