L’agriculture bio connaît aujourd’hui, si ce n’est un passage à vide, du moins des difficultés. Un certain nombre de productions, comme les fruits et légumes, le beurre et la farine, connaissent des baisses de leurs ventes de l’ordre de 10 % à 20 %.
Néanmoins, les moyens sont maintenus et sont même – vous l’avez dit, monsieur Féraud – légèrement augmentés par le fonds Avenir Bio. Cette stabilité permet de garder une base assez solide pour faire face aux difficultés.
Enfin, en liaison avec le prochain contrat d’objectifs et de performance (COP) 2024-2028 de l’Agence Bio, nous verrons en fonction de la façon dont se sera déroulée l’année 2023 s’il faut prévoir des mesures de soutien dans le prochain PLF.
Je demande donc le retrait de ces amendements identiques.