Vous avez insisté sur le besoin de disposer d'aviateurs de haut niveau. Pour cela, les impératifs de formation et de fidélisation sont incontournables. Or, un rapport de l'Assemblée nationale s'inquiète de la baisse de l'activité aérienne par pilote pour la chasse et l'aviation de transport. Partagez-vous cette inquiétude ?
Le ministère de la défense britannique s'inquiète du fait que plusieurs dizaines d'anciens pilotes de leur armée de l'air aient été recrutés par la Chine pour former ses propres militaires. Il semblerait également que d'anciens pilotes français soient devenus instructeurs en Chine. Quel danger pose ce genre de recrutement en matière de renseignement ?