Nous sommes tous d'accord pour reconnaître que l'idée de M. Marc et de ses collègues visant à améliorer le mécanisme de la péréquation procède d'une bonne intention. Le seul problème est de savoir comment l'on s'y prend et ce que l'on fait.
Je voudrais dire ceci à Michel Moreigne : « Amicus Moreigne, sed magis amica veritas » !