Madame la ministre, vous m’exposez l’état de la situation, que je connais parfaitement…
Je connais ces correspondants de presse, puisque je les rencontre tout le temps, sur le terrain, dans mes déplacements, dans toutes les communes de mon département, et je peux vous dire qu’ils assument un travail important, qu’ils remplissent des pages entières de nos journaux régionaux pour une rémunération extrêmement faible au regard tant de leurs déplacements que de la qualité de leurs articles et de leurs photos.
Je réitère donc auprès de vous et de Mme la ministre de la culture leur souhait de voir leur statut amélioré.