Monsieur le sénateur, vous avez abordé la notion de compétitivité sous un angle qui vous est propre.
En vous écoutant, je n’ai pas pu m’empêcher de penser – pardonnez-moi, j’espère ne pas vous offenser – que c’est cette manière de voir les choses qui nous a mis dans la situation que nous connaissons actuellement en matière énergétique. En effet, on nous a longtemps expliqué que la solution passait par les énergies renouvelables, et pas par le nucléaire, sans pour autant nous dire un traître mot sur les moyens de parvenir à cette transition.