La renationalisation, c’est 50 milliards d’euros ! Or nous avons la conviction que nous devons utiliser cette somme non pas au service de la route, mais plutôt au service de la décarbonation des transports – reports fluviaux, investissements dans le ferroviaire, etc.
Dépenser de l’argent pour racheter les autoroutes irait à l’encontre de la transition écologique et se traduirait à la fin par une mauvaise allocation des ressources publiques.