Merci de votre réponse, monsieur le ministre.
Je veux appeler votre attention sur la différence entre, d’une part, la logique à moyen terme qui s’exprime dans l’investissement consenti, en dépit de moyens très limités, par les petites communes rurales pour rénover, agrandir et sécuriser leurs écoles et, d’autre part, la logique annuelle selon laquelle on élabore un plan d’effectifs pouvant conduire à la fermeture d’une classe qu’il conviendrait de rouvrir l’année suivante ; pourtant, pour une telle réouverture, on exige beaucoup plus d’élèves que dans le cas de la fermeture.
Telle est ma préoccupation centrale, monsieur le ministre, et je vous remercie de bien vouloir entendre les maires ruraux, qui sont très inquiets à ce sujet.