Je préside la délégation aux droits des femmes du Sénat. Un joueur sur quatre est une femme : cette statistique est-elle le fruit d'un travail des instances du rugby ? Cette montée en puissance des femmes ne se retrouve pas au niveau des spectateurs ; comment l'expliquez-vous ?
Le modèle économique que vous nous avez présenté repose essentiellement sur la billetterie : est-il le même dans tous les grands événements sportifs ?
La compétition aura lieu sur neuf sites ; ce chiffre correspond-il à un certain équilibre financier ? Pourquoi pas davantage ? En matière de jauge, on varie quasiment du simple au double : gérez-vous différemment la sécurité de sites d'envergure extrêmement variable, sachant en outre que les capacités de transport diffèrent beaucoup, par exemple, entre Paris et Nantes ?
Quid, par ailleurs, de l'absence de la Bretagne ? Y a-t-il un lien entre implantation d'un site de compétition et participation du public ?
Le nombre de jours de repos passe de 331 en 2015 à 441 en 2023 ; en ces temps de débat sur le travail, faut-il en déduire que les joueurs sont fatigués en 2023 ?