La Coupe du monde de rugby n'est pas une répétition ou un « brouillon » des jeux Olympiques, mais plutôt un exemple. J'apprécie l'équilibre de la répartition géographique des villes hôtes sur l'ensemble du territoire. À plus petite échelle, il faut garder en tête l'équation du rugby : un recrutement rural pour un sport d'élite métropolitain. Une partie du territoire paraît plus difficile à pénétrer : les banlieues. Certes, il existe de beaux exemples, comme le club de Massy. Un travail spécifique va-t-il être réalisé en direction de ces populations ?
Vous m'avez rassuré quant aux problèmes de revente. Demeurent un risque et un fléau.
Le rugby est un sport viril, mais correct ; malgré tout, il est de plus en plus violent - c'est une des raisons alléguées de la relative désaffection pour ce sport, au vu des chocs et des traumatismes qui peuvent être subis. Le risque est que cette image se trouve confirmée par des faits de matchs qui annuleraient tout le bénéfice attendu de cette compétition.
Le fléau, c'est le dopage, qui touche tous les sports : comment ce problème va-t-il être traité dans le cadre de la Coupe du monde ?