Rassurez-vous, je laisserai impunies les évocations caricaturales de mon collègue Max Brisson. (Sourires.)
Il se trouve que, par amour profond pour un sport qui se joue avec un ballon qui ne rebondit pas dans tous les sens, je parcours l'Europe : partout, dans de très grands stades, des flux de dizaines de milliers de spectateurs y sont chaque semaine accueillis sans aucun problème. J'ai pu le vérifier dernièrement encore au stade San Siro de Milan, où j'assistais au derby de la Madonnina, entre deux clubs qui se détestent.
Dès qu'un événement sportif est organisé dans notre pays, la tâche semble ne pouvoir se comparer qu'aux douze travaux d'Hercule ! Ma question est simple : le GIP est-il en relation avec ces organisations - je rappelle que le football compte 38 millions de licenciés dans le monde - qui savent faire depuis des lustres, dans des stades bien plus grands que les nôtres ? Existe-t-il des rapports techniques entre ces instances et les vôtres ?