Il permettra donc d’accompagner le développement de l’île.
Mesdames, messieurs les sénateurs, j’aborderai pour conclure la question des relations avec les Comores, qui a été évoquée en des termes divers par certains d’entre vous.
Je tiens à le dire d’emblée, la départementalisation ne se fait pas contre les Comores. Il s’agit simplement de reconnaître cette liberté fondamentale que constitue le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Madame Assassi, j’ai bien vu que vous lisiez un discours, fort proche, d’ailleurs, de celui qu’a lu, lui aussi, votre collègue député à l’Assemblée nationale. J’ai bien senti qu’ils étaient tous deux inspirés par cette même nostalgie stalinienne d’une Union soviétique imposant l’unité à tant de peuples pendant des décennies !