L'Agenda rural, initialement bien accueilli, a suscité des déceptions. Les maires s'en sont, certes, rapidement approprié les outils financiers - dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), dotation de soutien à l'investissement local (DSIL), fonds vert - mais il est apparu comme un programme nébuleux, diffus, réparti entre différents ministères et, de ce fait, difficile à maîtriser.
Pour l'acte II de l'Agenda rural, irez-vous vers davantage de lisibilité ?