Par ce nouvel amendement de repli, nous proposons la date limite du 1er janvier 2039.
J’insiste sur le fait que la mobilité dans les villes, en particulier à Paris, concerne de plus en plus d’acteurs. En conséquence, une réforme, quelle qu’elle soit, mérite une concertation entre les organisations syndicales et patronales, afin que les critères de pénibilité puissent être pris en compte pour l’ensemble des travailleurs du secteur. Aujourd’hui, tel n’est pas le cas.
Mais il est inique de supprimer le régime qui assure aux agents de la RATP la prise en compte de cette pénibilité.