… entre les Françaises et les Français aux plus hauts revenus, déjà détenteurs de capital, qui verraient leurs placements et investissements en cours renforcés par la capitalisation, et les autres, qui partiraient avec un temps de retard dans ce processus de fructification.
Au fond, il suffit de parler avec les citoyennes et les citoyens de ce pays pour savoir qu’ils ont, comme je l’ai déjà dit, du mal à boucler leurs fins de mois. Comment voulez-vous, mes chers collègues, qu’ils puissent en plus capitaliser pour leur retraite ?