... s'appuyant sur un très léger dépassement de la norme en vigueur pour un dérivé de l'atrazine, la déséthylatrazine, a diffusé de fausses informations quant à l'importance de ce dépassement.
Il est même allé jusqu'à reprendre des « plaintes d'habitants » qui, après vérification, se sont révélées n'être qu'une unique lettre envoyée par un journaliste, en l'occurrence le correspondant local du quotidien Le Parisien dans le Mantois !
Vous en conviendrez, mes chers collègues, il s'agit là d'une bien curieuse conception de la déontologie, de la part de ces journalistes donneurs de leçons qui sont prêts à tout pour faire sensation dans le seul objectif de vendre du papier, même si cela inquiète faussement tous les habitants d'un territoire !
Bref, pour ce journal, peu importe la vérité pourvu qu'il puisse créer le sensationnel en stigmatisant au passage les élus locaux, qu'il juge responsables de cette situation. D'ailleurs, celle-ci n'a rien d'inquiétant puisque - je vous rassure tous - l'eau distribuée dans le Mantois est considérée par toutes les autorités compétentes comme de bonne qualité et parfaitement potable.