M. Gabriel Attal, ministre délégué. Je vous rejoins totalement, monsieur Gay, madame Cathy Apourceau-Poly, sur le fait que l’actionnariat salarié n’est pas suffisamment développé dans notre pays. Vous avez mentionné des taux de 1 % ou de 5 % dans telle ou telle entreprise : j’aimerais moi aussi que les salariés détiennent plus de titres.