Je veux féliciter nos amis écologistes pour la rédaction de l’objet de cet amendement.
La première phrase est excellente : « La richesse produite par les robots est une chance […] ». Il est hors de question, me semble-t-il, de donner le sentiment qu’on serait contre la modernisation, contre tout ce que la modernité apporte pour rendre le travail plus facile, pour améliorer les conditions de travail et accroître la productivité de la République française.
Je reprends la lecture : « La richesse produite par les robots est une chance et doit être mise au service de l’ensemble de la population. » Il est bien question de la « richesse ». Je suis d’accord avec les propos tenus à l’instant par Marie-Noëlle Lienemann. La mécanisation, la modernisation, la robotisation, c’est ne n’est pas un mal ; c’est un bien. Mais le profit des entreprises qui provient en partie de cette évolution et du travail des êtres humains doit servir à la solidarité, notamment pour ce qui concerne la question des retraites.