L’opposition s’exprime au sein du Parlement et dans la rue, et je respecte absolument le droit constitutionnel de manifester et de faire grève.
En revanche, j’ai dénoncé, et je continuerai de le faire, ceux qui appellent au blocage, partout et tout le temps, et qui appellent – je reprends leurs mots – à « mettre l’économie française à genoux ».