Ils devront travailler un peu plus, mais progressivement, et l’effort sera aussi adapté et aussi justement réparti que possible.
Ce choix, qui peut bien sûr faire débat, nous l’avons fait pour deux raisons : premièrement, parce que c’est celui qui permet de ramener le système à l’équilibre ; deuxièmement, parce qu’il permet de financer à la fois les mesures d’accompagnement et les droits que nous créons avec cette réforme.
J’y insiste : les travaux en commission comme la discussion en séance ont déjà largement éclairé le débat. Il n’y a pas lieu de retarder l’examen de l’article 7 ; j’émets donc un avis défavorable.