Chers collègues de la majorité sénatoriale, vous ne pensez pas aux gens qui ont un tel calendrier. Après une vie de travail, après une vie de souffrance, après une vie de fatigues, ils attendent la retraite : c’est le moment où ils pourront enfin s’occuper de leurs petits-enfants, avoir des loisirs et, surtout, se reposer.
Franchement, entre des personnes qui travaillent depuis plus de quarante ans, et qui attendent la retraite, et nous qui travaillons depuis trois jours, il n’y a guère de comparaison.