En premier lieu, pour entrer en vigueur, il faudra que soixante États ratifient le traité. Notre objectif est que ce soit le cas d’ici à la conférence des Nations unies sur les océans qui se tiendra en France en 2025, à Nice.
En second lieu, il faut poursuivre le combat pour la protection des océans. La France continuera notamment à mobiliser pour l’interdiction de l’exploitation minière des grands fonds marins, un combat essentiel.
Nous ne pourrons pas gagner la course contre la montre climatique si nous ne protégeons pas les océans et la haute mer. C’est tout l’intérêt de ce traité conclu par les États membres des Nations unies.