Le Gouvernement ne conteste jamais, sur ce texte comme sur les autres, les décisions procédurales des commissions. Je m’en remets évidemment à la sagesse du Sénat.
M. Assouline vient de dire qu’un certain nombre d’amendements pouvaient avoir un caractère secondaire. Dont acte ! Il ne m’avait pas échappé que de nombreux amendements, transformés ensuite en sous-amendements, étaient assez surprenants ou redondants, soit dit sans juger de leur recevabilité. Il en est ainsi de celui qui prévoyait la possibilité de maintenir à 62 ans l’âge de départ à la retraite des internes en médecine… Si vous connaissez beaucoup d’internes en médecine de 62 ans ou 64 ans, je suis curieux de les connaître.