Je partage l’idée que les risques psychosociaux doivent être pris en compte, mais nous avons une difficulté de méthode : quand on parle d’incapacité ou de réparation, il est difficile de quantifier les risques. Il s’agit bien sûr d’un débat politique, mais il est aussi scientifique.
En tout cas, l’avis du Gouvernement est défavorable.