Je salue les avis favorables de Mme la rapporteure générale et de M. le ministre.
La réponse des législateurs ne sera jamais à la hauteur du drame vécu par les familles qui perdent un enfant – étant moi-même dans ce cas, je sais de quoi je parle –, mais nous devons nous efforcer de ne pas être aveugles et sourds, afin de prendre en compte les situations de manière pertinente.
Ces amendements nous honorent, et je vous en remercie, mes chers collègues.