Monsieur le président, je vous remercie de vos paroles.
Mesdames, messieurs les sénateurs, en mon nom, en celui de mon collègue Franck Riester, ainsi que de Gabriel Attal, qui était présent à mes côtés pour les articles financiers, j’adresse tous mes remerciements à Mme la présidente de la commission, à Mme la rapporteure générale et à M. le rapporteur pour la qualité des relations que nous avons entretenues et pour les travaux préparatoires à ce projet de loi.
Les échanges ont parfois été vifs, parce que nous avions quelques divergences, monsieur le rapporteur – nous en avons encore –, mais je crois que nous avons travaillé dans un climat constructif et avec la volonté de faire en sorte que chacun puisse se retrouver dans le texte et que celui-ci puisse être adopté dans sa meilleure version possible.
Je remercie tous les présidents de groupe et les sénateurs qui ont participé à ce débat. Je pense que chaque contribution a été utile. Les groupes et les sénateurs ont pu faire valoir des positions. Au travers des amendements qui ont été adoptés, le texte a pu être enrichi sur la question des orphelins, sur celles des mères de famille, des agriculteurs, des sapeurs-pompiers, du rachat de trimestres ou encore des élus locaux – je sais combien Mme la rapporteure pour avis de la commission des finances y est particulièrement attachée.
Espérons que les prochaines étapes de l’examen parlementaire – je pense notamment à la commission mixte paritaire – permettent de l’enrichir encore et que le texte puisse ainsi poursuivre son chemin législatif.
Pour avoir désormais l’habitude de me voir, du fait des différentes fonctions que j’ai exercées depuis quelques années, nombre d’entre vous savent que j’ai toujours beaucoup de plaisir à venir au Sénat et à y débattre et que j’apprécie la qualité de vos travaux, mais aussi leur calme.
Je veux vous dire à tous, et peut-être encore plus à vous, monsieur le président, que, le plaisir et la satisfaction, notamment intellectuelle, étant des sentiments relatifs qui se mesurent toujours à l’aune du déplaisir que l’on peut connaître par ailleurs, je l’ai encore plus apprécié cette fois…