Le site « non au harcèlement » propose de nombreuses ressources pour les professionnels, notamment des grilles permettant aux enseignants de repérer les signaux faibles.
Il faut évidemment sanctionner les délits et penser aux victimes. Un premier travail de repérage permet de gagner du temps en démêlant les situations urgentes et celles qui viennent de commencer. Je m'exprime avec prudence et je ne veux pas que l'Éducation nationale improvise des enquêtes mais certaines situations peuvent être réglées au sein des classes et des établissements.
Enfin, nous ne devons pas superposer les dispositifs, comme le Comité des parents. Je sais que la direction centrale de la sécurité publique a organisé des réunions à Paris en l'absence de l'Éducation nationale et des fédérations de parents d'élèves. Nous devons nous également nous concentrer sur un numéro unique, pour plus de clarté.