Alain Sautet, secrétaire général de la Société française de chirurgie orthopédique et traumatologie :
Ce sont des prothèses métal-métal. Le principe est de mettre face à face deux diamants pour limiter les risques d'usure. Il n'y avait pas, je le crois, de mauvaise intention au départ. C'était de l'innovation, non du lobbying.