président. – Sur le plan économique, de grands groupes comme Tencent ou les Gafam investissent dans le secteur. Vous avez évoqué l’utilité, mais aussi la faiblesse des outils dont nous disposons pour lutter contre la prise de capitaux. Quelles discussions avez-vous avec l’État sur ce sujet ? Des modèles de protection sont-ils envisageables ?