– C’est une très bonne initiative, à laquelle nous avons souscrit dès le début. Cependant, des problèmes d’ingénierie financière se posent pour le déployer dans notre secteur.
J’en viens au modèle Freemium. Les contenus additionnels payants sont une pratique ancienne. Sur les téléphones portables, ce modèle est très répandu, et il est parfois difficile de se désinscrire ; or se désinscrire reste facile pour les jeux vidéo. Nous essayons avant tout de responsabiliser et d’informer les joueurs. Nous mettons en place des limites de dépenses, nous envoyons des messages d’alerte et pouvons par exemple bloquer des comptes.
Le domaine hypercasual s’est beaucoup développé, et se fonde sur des modèles publicitaires, ce qui a pour mérite de ne pas faire porter la dépense sur les joueurs.
Enfin, l’abonnement se développe, comme pour les séries. De plus en plus d’opérateurs proposent des abonnements qui permettent de jouer de manière illimitée, ce qui pose d’autres questions.