s'est demandé comment il était possible de substituer une logique d'objectifs et de résultats à une logique de dépenses, faisant remarquer que cette question se posait de la même façon pour la formation initiale que pour la formation continue. Puis il s'est interrogé, tout en souscrivant à son principe, sur l'existence d'éventuels effets pervers de la gestion paritaire du système. Enfin, il s'est inquiété des solutions proposées aux 150 000 jeunes sortant chaque année du système scolaire sans diplôme, ni qualification.