a brièvement évoqué les avancées introduites par la réforme de 2004 de la formation professionnelle. Puis il s'est demandé si cette dernière n'obéissait pas encore trop à une « logique de dépenses » ou de moyens et pas assez à une démarche d'investissement incorporant la fixation d'objectifs, de besoins et de résultats.