président du FONGECIF Ile-de-France, s'est félicité de pouvoir présenter des observations sur le sujet, trop rarement abordé, du congé individuel de formation (CIF) qui, a-t-il observé, porte mal son nom, car il ne s'agit pas véritablement d'un « congé », mais d'un processus qui ne comporte pas seulement de la formation.
Soucieux d'apporter un témoignage de l'activité du FONGECIF Ile-de-France, il a rappelé que le CIF était financé par une cotisation représentant 0,2 % de la masse salariale des entreprises, ce qui représente 700 millions d'euros au niveau national et 200 millions en Ile-de-France.
a indiqué que le « coeur de métier » du FONGECIF consiste à aider le salarié à prévoir et à sécuriser son parcours professionnel au moyen des deux leviers que constituent l'accompagnement de la personne et le financement de la formation. Il a souhaité construire son propos en soulignant que le FONGECIF Ile-de-France constitue à la fois un lieu de référence pour les salariés soucieux de gérer leur évolution professionnelle, un outil face aux évolutions économiques et, enfin, un vecteur d'égalité des chances.