Intervention de Stuart Miller

Commission d'enquête sur la lutte contre le dopage — Réunion du 15 mai 2013 : 1ère réunion
Audition de M. Ricci-Bitti Président de la fédération internationale de tennis fit et M. Stuart Miller responsable de la politique antidopage

Stuart Miller :

En effet. Il s'agit de l'International doping tests and management (IDTM)...

La seconde raison qui explique que les organisations antidopage choisissent tel ou tel laboratoire en particulier est imputable à la nécessité de traiter tous les sportifs de la même façon. Tous les laboratoires n'utilisent pas forcément le même matériel, et certains sont plus sensibles à la détection de certaines substances que d'autres. Il serait délicat de constater qu'un athlète testé positif à une substance par un laboratoire s'avère négatif à cette même substance dans un autre !

Cela étant, ceci ne s'applique pas dans les cas où un suivi est assuré, comme dans le cas du passeport biologique. On envoie alors des échantillons à d'autres laboratoires, dont celui de Chatenay-Malabry, de Lausanne, ou à Cologne. Nous en avons également envoyé à Pékin. L'utilisation des laboratoires est donc de plus en plus diversifiée.

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