J'avais à l'époque fait évaluer ma proposition par un jeune collègue dans le cadre de sa thèse. À partir du cas de Lyon, j'avais fait comparer le coût de prise en charge d'une voiture et de deux ou trois ans de plein d'essence pour les personnes en grande difficulté financière - premier ou second décile de revenus. En termes de volume financier, ce n'était guère plus que le plan d'investissement du réseau lyonnais.
Cela a donc un coût, mais qui n'est pas démesuré par rapport aux dépenses des réseaux de transport public.