C'est tout le problème du rabattement sur des lignes fiables et qualifiées de fortes. Dans le nord Isère, les usagers se garent près d'un transport collectif après avoir passé le péage à deux et partagé les frais, puis utilisent le réseau urbain. C'est une forme d'organisation à mettre en place. Les élus doivent y être attentifs, mais ceci n'est pas reproductible partout et nécessite un travail énorme.