a souligné l'importance de ces deux questions relatives à la définition éventuelle d'un périmètre de formations qui échapperait à la logique du marché et au rôle des régions en matière d'orientation. Elle a insisté sur la nécessité d'inscrire dans la loi le principe de l'adaptation régulière du PRDF par l'adoption de conventions annuelles ; il ne faudrait pas que la nouvelle loi soit en recul par rapport aux règles actuelles sur ce point alors même que la crise économique montre la nécessité de ces ajustements. Il est enfin très pertinent de faire valoir que la formation professionnelle peut être un outil d'aménagement du territoire, ce qui renforce son incompatibilité avec la logique du marché et de la concurrence. Le parallélisme existant entre les parcours professionnels et les parcours de vie est une question à approfondir.